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Comment créer une chaine de podcasts
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Comment s’y retrouver dans tous ces fichiers media que nous sommes bien obligés de manipuler tous les jours ? C’est la jungle ? Et que signifient tous ces suffixes ? Pas si compliqué que çà, vous allez voir. Audio, vidéo, image, pour chaque usage choisissez le format de fichier le plus standard, celui que tout le monde pourra lire.
En effet, les fichiers media servent en premier lieu à communiquer. Vous les envoyez à vos correspondants, à votre imprimerie, vous les mettez en ligne sur votre site, sur vos réseaux numériques, vos réseaux sociaux.
Ils doivent être de bonne qualité et à une définition appropriée au mode de diffusion que vous envisagez. Aussi, dans la plupart des cas, on sera amené à utiliser plusieurs formats pour une même image, un même son, une même vidéo.
La première indication est le suffixe du fichier qui commence toujours pas un point : .aif, .mp3 … Il va nous permettre de reconnaître la nature du fichier : son, vidéo ou image fixe.
Dans un deuxième temps, on pourra faire clic droit sur le fichier (windows) ou cmd+i (mac) pour avoir plus de précisions, quant à son poids (sa taille) et à son format (sa définition ou leurs dimensions pour les images)
Plus le fichier media sera de bonne qualité, plus il sera lourd. Sur internet, les fichiers très lourds ont du mal à être lus correctement. Voilà pourquoi on utilise en général des formats compressés qui sont plus légers et donc plus faciles à lire à distance.
On fera donc toujours un compromis entre qualité et portabilité, pour ainsi dire. Seules les conditions professionnelles de diffusion ne souffrent guère la compression : cinéma, télévision, pressage cd ou vinyle, diffusion en salle, l’imprimerie …
Les fichiers son sont utilisés – écoutés – par tout le monde, mais ce sont les musiciens, les producteurs, les podcasteurs qui les manipulent et les génèrent.
Une première distinction est à faire : un fichier mono ne comporte qu’une seule piste. Un fichier stéréo comprend 2 pistes (gauche et droite) qui sont en général entrelacées pour pouvoir être lues simultanément par tous les appareils ou logiciels.
Les fichiers mono ne sont utilisés qu’en studio : on enregistre une source avec un micro, cela génère un fichier mono. En diffusion, tous les fichiers son sont stéréo, c’est le standard absolu qui vous permet de les écouter partout, sur un téléphone, un ipad, un ordi, en ligne …
Un fichier stéréo pèse 2 fois plus lourd qu’un fichier mono de la même durée. De plus ce n’est pas la quantité ou le volume du son qui va changer le poids d’un fichier. Un fichier de silence pèse aussi lourd qu’un fichier de musique techno. On verra que ce n’est pas du tout la même chose pour les fichiers image.
Les fichiers son professionnels sont en 2 formats possibles : .wav sous windows et .aif sur mac.
Il est un fait établi que les mac peuvent lire les 2 sans distinction, alors que sous windows on peut encore avoir des problèmes à lire des aif . Voilà pourquoi les fichiers wav sont très conseillés, puisqu’ils peuvent être lus partout.
Il est ensuite 2 dimensions très importantes pour la qualité d’un fichier son professionnel : la définition du message informatique en bits et le taux d’échantillonnage en KiloHertz.
Le CD audio a longtemps été un étalon en matière de fichier son numérique, son format est de 16 bits et 44.1 Khz. Mais c’est déjà un format un peu compressé, car ce format de fichier permet de stocker jusqu’à 80 minutes de son stéréo sur cette petite galette.
Une meilleure définition, celle qu’on utilise la plupart des cas en studio pro ou en home studio, c’est 24 bits et 48 Khz qui permet un meilleur rendu de l’image sonore. Mais il est plus lourd de 40% environ, car il comporte plus d’informations.
Le mp3 est le format standard du son sur internet et sur les lecteurs numériques de poche (lecteurs mp3, smartphones). C’est un format de fichier très compressé qui permet de stocker et de lire très facilement de grandes quantités de musique.
Le format haute-qualité (HQ)en mp3 pèse environ 10 fois moins lourd que le wav 16/44.1 . Evidemment, c’est un format grand public, car la perte de qualité est sensible.
Ce nouveau format compressé est apparu qui est souvent utilisé sur les plateformes numériques de diffusion musicale. Il est de bien meilleure qualité que le mp3. On considère généralement qu’il n’y a pas de différence à l’écoute avec un wav.
Le fichier flac peut être en 16/44.1 ou bien en 24/48. Il est environ 2 fois moins lourd que le wav.
.wav | .flac | .mp3 | |
24/48 | 100 Mo | 66 Mo | 6 Mo (HQ) |
16/44.1 | 60 Mo | 30 Mo |
Tous les fichiers vidéo utilisés actuellement en communication vidéo utilisent la norme mp4 et ont donc comme suffixe .mp4. Notons que sur mac on rencontrera souvent des fichiers avec .mov comme suffixe, mais ce sont toujours des mp4, d’ailleurs vous pouvez modifier ce suffixe et le changer en .mp4, sans autre manip.
Les dimensions des images vidéo et cinéma sont variables, des plus rectangulaires au plus carrées.
Le média le plus répandu sur internet est bien entendu la vidéo. Il y a des vidéos partout : sur Youtube, Vimeo, sur tous les sites web, les blogs, les vlogs. Mais la vidéo numérique est aussi utilisée maintenant de manière universelle en télévision et au cinéma.
Le format d’image qui s’est imposé est le format 16/9ème ou format rectangulaire ou encore appelé format allongé.
En même temps que lui, s’est imposé également sur internet, mais aussi sur les caméras vidéo, les smartphones, les tablettes un format de fichier vidéo qui est le mp4. C’est le format universel au 21ème siècle qui a détrôné tous les autres.
On le trouve principalement en 3 définitions HD :
Alors, que signifie ces dimensions : ce ne sont pas des cm, mais des pixels : le premier chiffre désigne le nombre de pixels dans la largeur et le deuxième le nombre de pixels dans la hauteur de l’image.
Le pixel est l’unité de surface dans toutes les images numériques. L’image la plus petite qui soit serait une image 1/1 : un carré de 1 pixel de côté de couleur unie. C’est la version image de l’échantillonnage numérique que nous avons déjà vu dans les fichiers son.
On comprendra bien que si on veut projeter une vidéo numérique sur grand écran, ce qui équivaut à l’agrandir, il nous faut le plus grand nombre de pixels dans le fichier. Voilà pourquoi on est aussi en train de passer au cinéma en 8K, ce qui double la définition du 4K.
Par conséquent le choix d’un format d’image vidéo dépend de son support de diffusion et de la performance de la plateforme ou de l’appareil qui la diffusera. Par exemple, les vidéos Youtube sont regardées très majoritairement sur des tout petits écrans de smartphone et jamais sur des grands écrans. Il serait donc très inadapté de vouloir les diffuser en 4K ou en 8K.
Par ailleurs le poids d’une image dépend énormément aussi de sa complexité. Un aplat de couleur pèse beaucoup moins qu’une image de paysage par exemple. Une image fixe également.
Pourquoi ? Et bien la raison en est que la vidéo numérique reconnaît les pixels semblables et permet de les représenter de manière virtuelle, pourrait-on dire… Plus il y a de changement et de diversité dans une image numérique, plus elle sera lourde.
Le format d’image carré est très récent. Il a été introduit par Instagram et contamine maintenant aussi Facebook et même Linkedin. C’est donc un format de fichier spécifique à internet et on le trouve dans plusieurs dimensions qui conviennent toutes très bien sur les réseaux sociaux : 600/600, 720/720, 1000/1000, 1080/1080
Mais il s’agit toujours d’un fichier mp4 : seules ses dimensions changent. Ce qui est intéressant, c’est que l’image va occuper plus de surface dans le fil des publications : elle attirera donc plus le regard.
Autre avatar des réseaux sociaux : le format vertical. Il provient du fait que toutes les personnes qui possèdent des smartphones le tiennent vertical pour faire des selfies ou des vidéos. Ce qui m’a toujours paru très étrange en terme de vidéo, mais ça se justifie intuitivement : quasiment toutes ces images sont des portraits de personne (sa propre personne, en fait).
On pourrait appeler çà le format narcissique, non ? C’est en tout cas le format favori des stories sur Instagram et des vidéos sur TikTok. Et comme ce sont les mêmes personnes qui regardent les vidéos sur ces réseaux sociaux, exclusivement sur leurs smartphones, ils les regardent évidemment en vertical.
On voit que ce format inversé 9/16 correspond pile à l’écran du téléphone. il occupera donc toute la surface disponible. Et comme sur tous les réseaux sociaux et les sites web, le format de fichier le plus utilisé est le format HD 1920/1080 ou en vertical 1080/1920.
Il faut rapidement aussi parler du débit de la vidéo, c’est à dire du nombre d’images par seconde. On utilise actuellement 2 débits : 25 images/seconde et 30 images /seconde. L’unité est souvent abrégée : fps pour frames per second.
Là encore, le 30 images /seconde s’impose maintenant un peu partout. L’image est un peu plus fluide et donc le mouvement est mieux retranscrit.
60 images /seconde est utilisé aussi pour les sports où le mouvement est le plus souvent très rapide. Evidemment, ça alourdit considérablement les fichiers et les appareils doivent être capables de les enregistrer et de les lire.
Photos, illustrations, les images fixes sont aussi omniprésentes sur les sites, les blogs internet. Là aussi, la compression est de mise, car les grandes images peuvent ralentir considérablement le temps de chargement des pages internet et impacter très sérieusement le référencement des pages par les moteurs de recherche.
Le standard très conseillé sur internet est le fichier .jpg qui permet une bonne compression.
Le seul avantage du .png semble être la possibilité d’avoir un fond transparent et donc de présenter des images détourées sur un fond de page coloré. C’est un avantage en terme de design. Toutefois, le fichier .png est moins bien récompensé par les moteurs de recherche.
60% des images sur internet sont vues sur des smartphones et non pas sur ordinateur. Les sites internet doivent donc s’adapter souplement à ces écrans de taille extrêmement différentes. Ce qu’on appelle responsive, c’est justement la faculté d’une page internet de s’adapter aux formats des mobiles.
C’est une contrainte depuis quelques années qui se rajoute au fait que le trafic internet ne cesse d’exploser. Donc les pages internet doivent être les plus légères possibles à charger.
Voilà pourquoi on doit prêter attention à la fois au poids des fichiers image (compression) , mais aussi à la taille de chaque image. Une image qui va être placée par exemple dans une colonne qui fait 250 pixels de large, ne doit pas excéder cette taille.
Autrement dit, la taille des images doivent être appropriées à la taille du conteneur qui la reçoit. Donc toutes les images qui peuvent être grandes et bien définies doivent être compressées en taille et en définition pour diminuer le temps de chargement de la page internet.
On estime qu’une bonne page internet doit avoir un temps de chargement moyen qui n’excède pas quelques secondes, un grand maximum de 5 secondes. Sinon on diminue grandement le pourcentage de visiteurs qui va voir la page, car les internautes zappent très vite.
Donc il est évident qu’une photo prise sur un smartphone ou un appareil photo ne peut pas être publiée sur internet, sans être drastiquement compressée. Une telle image à son état brut peut peser facilement plusieurs Mo et il faudra sur un site internet la réduire en un fichier de quelques centaines de Ko, voire à quelques dizaines de Ko.
Pour cela, on va réduire la taille au strict nécessaire, mais aussi la définition sera réduite de 300 ou 600 dpi à 72 dpi (dots per inch, en français points par inch). C’est un peu l’équivalent de ce qu’on a vu précédemment avec les pixels en vidéo.
Pour l’impression papier, affiches, flyers ou édition papier, les standards de fichier ne sont pas du tout les mêmes.
En général, en photo ce sont les fichiers .tif qui sont préférés pour des raisons de colorimétrie et à la meilleure définition possible. Là il n’est plus question de compression, ni de réduire la taille des images. Bien au contraire !
Ensuite une maquette graphique comprenant des photos, du texte, des titres, des illustrations sera la plupart fournie à l’imprimerie sous un format .pdf non compressé
Bien évidemment, il existe beaucoup plus de formats de fichiers audio, vidéo ou image. Mais nous venons de voir les plus utilisés, les standards actuels sur le net et en production pro. Il est fortement déconseillé de publier des fichiers dans des formats plus exotiques ou plus anciens ou encore réservés aux professionnels.
Comment convertir un fichier média ? La plupart du temps, vous n’aurez pas besoin d’application spécifique : l’appli avec laquelle vous l’avez fabriqué ou dans laquelle vous l’avez ouvert sur votre ordinateur vous permettra le plus souvent de l’exporter à un de ces formats de base.
Ne prenez pas le risque que vos fichiers soient illisibles pour la plupart des usagers. N’oubliez jamais que vos fichiers media n’ont pas la plupart du temps comme objectif N°1 d’être les meilleurs possibles, mais au contraire de communiquer des images et des sons à un public, sur des réseaux ou dans des modes de diffusion différents.
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Les non voyants peuvent-ils avoir accès à la réalisation de podcasts audio ? Jusqu’à maintenant, c’était presque une mission impossible. Et pourtant le podcast pourrait être pour eux le mode de communication rêvé : pas d’images, rien que de l’audio pour communiquer avec leur voix. Ils avaient besoin simplement d’une formation accessible qui n’existait pas…
En janvier 2021, à l’initiative d’Yves Wansi, Audio Formations a ouvert un gros chantier pour rendre accessible aux non voyants et aux mal voyants sa formation Réaliser ses podcasts de A à Z.
Yves Wansi, animateur de Vue d’Ensemble et du podcast DVLV – Déficients Visuels Lancez-vous :
“ Tout est parti en 2019, lorsque nous nous sommes rencontrés, toi et moi, Bruno et nous avons collaboré pour l’organisation de la 2e édition du festival Entendez-Voir !
Le podcast je connaissais un tout petit peu, sans vraiment m’y intéresser, parce que je ne voyais pas trop l’intérêt. Je connaissais déjà le livre audio et je considérais que le podcast c’est une autre forme des livres audio.
Grâce à toi et aux articles que tu m’as conseillé, je me suis documenté sur le sujet et c’est là où je me suis vraiment rendu compte que c’était une réelle opportunité pour les malvoyants et les non-voyants.
Etant moi-même malvoyant, je suis en contact avec plusieurs malvoyants et non-voyants et j’avais toujours ces remarques : certains publiaient beaucoup de contenu sur Youtube.
Le problème de Youtube, c’est qu’il n’est pas forcément accessible pour un déficient visuel. Certains malvoyants et non-voyants qui partagent du contenu audio sur Youtube ont toujours besoin d’être accompagnés car ils sont obligés de mettre une image figée pour que leur contenu audio puisse être accepté dans le logiciel.
C’est un véritable casse-tête quand on a un handicap visuel. “
“ L’avantage du podcast est qu’on a juste besoin d’enregistrer sa voix, son contenu, faire la postproduction, puis télécharger en format mp3 ou wav et ensuite publier. C’est tout simple.
Je suis donc rentré dans le milieu du podcast. Il fallait donc se former avant même de démarrer, non seulement pour une compréhension technique, mais il fallait aussi que je comprenne l’impact économique et surtout sociétal de la discipline.
Ensuite je me suis donc formé aux techniques de production, de prise de son, d’habillage sonore, de narration, de diffusion.
Etant moi-même malvoyant, les avantages du podcast pour moi vont encore plus loin en terme de publication et de diffusion. Tout simplement parce que aujourd’hui nous sommes inondés par la communication vidéo et tout le monde n’a pas forcément le temps de regarder tout le temps les vidéos sur son smartphone ou son ordinateur.
Et en plus quand on est malvoyant ou non-voyant, ça ne sert forcément pas à grand-chose d’avoir des images. Donc c’est plus l’audio qui nous intéresse.
Et si on analyse plus loin, il existe 4 canaux de communication et diffusion de contenu vidéos : YouTube le plus connu, Facebook, Instagram et Tic-Toc.
A la différence du podcast, où on a plus d’une dizaine de plate-formes de diffusion. C’est énorme ! Entre Apple Podcasts, Deezer, Spotify, SoundCloud, Google Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon, Audible… Si on analyse, on se rend compte qu’on a plus de possibilités de diffuser son contenu et en plus, gratuitement.”
“ Donc, pour cela il faut faire une formation. Ce n’est pas juste enregistrer sa voix et le balancer en ligne. Il faut donc comprendre les techniques de production, le bruitage, la technique de prise de son, l’habillage sonore et surtout la diffusion.
En effet, il faut savoir comment diffuser en utilisant des mots clés et surtout qu’il soit visible, accessible sur toutes les plateformes. J’ai pris le temps de me former à la production, à la diffusion, à la publication, à la prise de son, à la création de contenu, à la narration, à la rédaction, etc.
Et bien évidemment à l’accessibilité de cette formation. Il fallait trouver le moyen de rendre la formation accessible à un non-voyant.
De nombreux malvoyants et non-voyants ont d’énormes choses à dire. Des musiciens, des narrateurs, des poètes, des conteurs, des formateurs, des écrivains, des scénaristes, des réalisateurs… Grâce au podcast, ils ont l’opportunité de mettre leur création sur un support pour se faire connaître, faire reconnaître leur travail et surtout s’émanciper.
De plus avec les conditions sanitaires actuelles, nous sommes un peu obligés de rester chez soi. On a donc la possibilité de s’exprimer, d’exprimer son talent chez soi, dans son bureau, dans sa chambre, dans son salon et de partager avec les autres. ”
Pour écouter les podcasts d’Yves Wansi DVLV – Déficients Visuels Lancez Vous : https://podcast.ausha.co/dv-lancez-vous
Les voyants l’ignorent, mais les non voyants et les mal voyants, en raison même de leur handicap, utilisent déjà énormément les outils numériques : ordinateur, smartphones, principalement.
Leur principale difficulté est évidemment qu’ils ne peuvent voir l’écran. Ils utilisent donc des lecteurs d’écran vocaux comme Voice Over sur mac et sur les iphone, comme NVDA sous windows ou encore Talk Back sur androïd.
Mais en plus, ils utilisent de manière extensive les commandes au clavier, les raccourcis clavier. En effet, ils ont besoin de pouvoir contrôler tout au clavier.
Beaucoup d’entre eux ont d’ailleurs acquis en la matière une dextérité stupéfiante pour les voyants. Ils sont capables de jongler très vite entre les commandes vocales et les raccourcis clavier.
L’accessibilité aux non voyants et aux mal voyants d’une formation à distance passe par une plateforme de cours bien organisée, des modules de cours en audio et des documents texte bien calibrés.
De plus, la particularité d’une formation audio est qu’elle doit comporter une initiation à un logiciel audio, parfaitement accessible aux non voyants. La difficulté principale était donc de concevoir un tutoriel de réalisation audio accessible sur un logiciel audio accessible.
Et c’est là que la collaboration avec un non voyant, expert en informatique s’imposait pour tester et valider dans le détail cette nouvelle formation dont l’enjeu était d’être 100% accessible aux non voyants.
Emmanuel Coutris, administrateur système à l’Université Paris-Saclay et lui-même non voyant, a collaboré activement à la création de cette formation en en étant en quelque sorte le bêta-testeur et le consultant en accessibilité :
“ Alors de mon côté, dès que j’ai entendu parler d’une possibilité de formation au podcast pour les déficients visuels ça m’a beaucoup intéressé, tout simplement parce que j’ai aussi un intérêt là-dedans. Effectivement j’aimerais bien créer un podcast autour des instruments de musique rares ou peu utilisés.
Et donc j’ai répondu présent dès qu’on m’a dit que ce serait bien qu’il y ait un testeur non-voyant. Surtout que j’ai des connaissances dans tout ce qui est site internet, accessibilité et je pense pouvoir réfléchir aussi aux difficultés des déficients visuels.
Jusqu’à maintenant mon expérience de cette formation en ligne est assez positive parce que le format me plaît beaucoup. Et puis l’accessibilité, elle était déjà pas mal au départ. Je parle du site lui-même, la plateforme de formation.
Et après l’ajustement, avec les petites observations que je peux apporter, comme Bruno est très à l’écoute, je ne vois que des améliorations.
Et voilà, je ne peux qu’inviter d’autres personnes à suivre cette formation dès qu’elle sera mise en place.”
La formation Podcast Audio Touch existait déjà pour les voyants et dans une certaine mesure aussi pour les mal voyants.
Il s’agissait donc pour Audio Formations de proposer une nouvelle version de cette formation à la réalisation de podcasts, cette fois-çi 100% accessible aux non voyants, aux mal voyants et bien entendu 100% à distance.
Ne cherchez pas plus loin, c’est la première et la seule qui existe actuellement. Elle est le fruit de la collaboration entre voyants, mal voyants et non voyants.
Elle est ouverte dès maintenant à tous les non voyants et mal voyants francophones. La première session débute en avril de cette année 2021.
Audio Formations ouvrira une nouvelle session tous les mois et les prises en charge du coût de formation sont possibles via Pôle Emploi (et votre Cap Emploi) ou les Opcos de votre secteur si vous êtes salarié ou salariée.
Pour en savoir plus sur le programme détaillé, les sessions, les conditions d’inscription et de prise en charge de cette formation :
Non voyants, mal voyants : réalisez vos podcasts audio de A à Z
Audio Formations propose cette formation aux non voyants et mal voyants, désireux de créer et réaliser leurs propres podcasts audio
Le podcast audio est par excellence le média de la communication orale. Cela en fait un mode privilégié de communication à distance sur le web pour les non voyants et les mal voyants. Entre eux, mais aussi bien sûr avec les voyants.
Vous avez peut-être déjà commencé à vous documenter sur le podcast audio ? C'est un nouveau domaine de communication sur le web. On en parle beaucoup, mais les infos, les techniques et les méthodes sont clairement difficiles à rassembler.
En pleine évolution, en plein boom ! Le potentiel de ce média est énorme pour toute forme d'activité ou de loisirs, car le podcast audio est fondé sur la puissance de la communication orale.
On peut y parler véritablement intimement au creux de l'oreille de ses auditeurs, de ses apprenants ou de ses prospects.
D'ici quelques années, il y a fort à parier que tout le monde rêvera d'animer son podcast audio. Dès maintenant, sans attendre, vous pouvez gagner un temps d'avance au bénéfice de votre activité.
Pour toutes ces raisons, nous avons pensé qu'il était urgent de vous proposer une formation podcast efficace et accessible aux déficients visuels, qui vous fera gagner beaucoup de temps.
Pour vous éviter les errances que nous observons tous les jours dans les tentatives maladroites de ceux qui démarrent à l'arrache.
Cette formation podcast est pour vous, non voyant, mal voyant, si vous avez décidé de passer à l'action et d'innover dans votre activité, dans vos loisirs et dans votre expression personnelle.
Que vous soyez formateur, web-entrepreneur, communicant·e, à votre compte ou en entreprise ou encore musicien, producteur, ou bien tout simplement si vous désirez communiquer sur le web avec les moyens de demain, cette formation podcast est vraiment pour vous !!
Notre plateforme de formation à distance dispose de toutes les ressources interactives pour que vous puissiez partager, échanger et enrichir votre parcours de formation podcast de manière agréable et efficace.
La formation est 100% accessible à tous les déficients visuels.
Bruno de Chénerilles est formateur-expert en nouvelles technologies audio et multimedia pour le web et la musique. Depuis plus de 35 ans, il forme des professionnels dans ces disciplines en formation continue et dans diverses universités en France et au Canada. En 2004, il a fondé et il dirige depuis l'organisme Audio Formations. Il anime le blog Plan Sonore et 2 chaines de podcasts : Plan Sonore - Plaisir et Pouvoir du son et Planeta - la revue sonore des musiques nouvelles. Contactez-le ci-dessous
Il est urgent pour vous de prendre un rendez-vous téléphonique avec le formateur Bruno de Chénerilles afin de lui poser toutes vos questions, de vérifier avec lui si vous avez droit à une prise en charge financière et de monter rapidement un dossier de demande.
Faites très vite, car les délais pour les demandes de prise en charge sont en général de 2 semaines à 1 mois avant le début de la formation.
Bruno de Chénerilles est à votre disposition pour toutes vos questions, pour monter votre dossier d'inscription et de prise en charge avec vous. N'hésitez pas à le contacter ci-dessous :
Le formateur est totalement apprécié par les apprenants
pour ceux qui ont accompli le parcours de formation
Pour eux cette formation est au top !
(chiffres obtenus en 2023 et 2024)
Lise, communicante, non-voyante :
Une formation très intéressante qui m'a permis de lancer ma propre chaîne de podcast et de maîtriser la réalisation des épisodes de A à Z. Bruno est très disponible et n'hésite pas à faire des recherches pour apporter la meilleure réponse possible en cas de difficultés rencontrées au cours de la formation.Une seule suggestion d'amélioration : j'aurais aimé que la partie sur la construction du projet de podcast arrive avant la partie technique.
Amalia, musicienne et non-voyante :
Étant passionnée de tout ce qui tourne autour de la musique et du son, j'ai pris beaucoup de plaisir à faire cette formation. J'ai appris pas mal de choses concernant la réalisation d'un podcast, et je suis très contente d'avoir pu créer ma propre chaîne. C'est un moyen pour moi de me rendre utile en partageant mon savoir-faire avec les autres.
Yves, Entrepreneur-conférencier et mal voyant :
Une formation parfaite pour démarrer dans le domaine du podcast. Le formateur était toujours disponible et à l'écoute des stagiaires. C'est une formation simple et pratique pour ceux qui débutent.
Emmanuel, administrateur système et non voyant :
Je ne peux qu’inviter d’autres personnes à suivre cette formation.
Anonyme, (source : Anotea / Pôle Emploi) :
J'ai beaucoup apprécié cette formation, elle m'apporte beaucoup de choses sur le plan technique.
Marie-Joelle : Très bonne formation. Débutante totale sur le sujet, il m'a fallu moins de 2 heures pour suivre le cours et prendre le logiciel en mains. Présentation claire et exemple efficace.
Yann : Pour quelqu’un qui débute comme moi, j’apprécie l’avancée pas à pas sur les fonctions de base... Je recommande particulièrement pour ceux qui, comme moi, n’ont jamais touché un logiciel de montage son, mais qui ont besoin d’un enregistrement voix + mixage avec de la musique rapidement. Merci pour cette prise en main simple, ça donne envie de poursuivre vers plus de détails …
Christel : Le cours est clair. Il est tout a fait adapté pour une néophyte comme moi. Bruno prend le temps de nous expliquer avec simplicité. Les exercices pratiques sont détaillés et aident à prendre en main le logiciel facilement.
L’épidémie du coronavirus n’impacte pas que les bars, les restaurants, les évènements publics. Tous les lieux et les activités qui impliquent la prise de son audio ou en vidéo sont concernés et tout particulièrement la prise de son des voix parlées ou chantées.
Si vous la pratiquez dans votre activité, vous devez absolument prendre les mesures de protection nécessaires.
Vous pouvez écouter cet article sur le podcast Plan Sonore :
A partir du moment où vous utilisez dans votre activité un ou plusieurs micros, vous êtes dans la plupart des cas concerné·e par le coronavirus et de très près. Pourquoi ?
La voix parlée est un des vecteurs principaux de contagion du coronavirus. Comme on vous l’a répété déjà des centaines de fois, les gouttelettes propagées en face de la bouche par le simple fait de parler sont la principale cause de propagation du coronavirus.
Et ce risque est grandement augmenté dans les lieux clos et non-ventilés.
Par conséquent lorsqu’on parle en face d’un micro, le risque est très grand. Toutes les personnes qui enregistrent de la voix parlée en audio ou en vidéo pour leur activité sont donc concernées de très près.
Formateurs, enseignants, web-entrepreneurs, podcasteurs, youtubeurs, studios de radio, vidéo, tv, tournages, techniciens, intervenants, conférenciers …
Et bien là, le risque est encore plus grand ! En effet, la voix chantée émet encore plus d’air, propulsé avec beaucoup plus de puissance que la voix parlée. Beaucoup plus de gouttelettes et donc beaucoup plus de risques d’infection au coronavirus.
Et bien sûr, il n’est guère concevable de chanter avec un masque, que ce soit pour le son de la voix, comme pour la respiration qui est tout à fait comparable à la respiration sportive.
Voilà pourquoi toutes les activités impliquant de la voix chantée sont très problématiques : enregistrement en studio, mais aussi pratique du chant choral, cours de chant …
Donc, musiciens, chanteurs, chanteuses, professeurs de chant, chefs de choeur, soyez très prudents !
Dans ce cas, il n’y a pas forcément de micro, mais dans les écoles de musique et les conservatoires, les cours de chant se passent et se succèdent dans des salles fermées, souvent très petites, pas assez aérées. Donc, on risque d’y projeter du coronavirus en très grande quantité.
Les instruments à vent sont aussi concernés de très près par les risques de propagation du coronavirus. Les saxophonistes, clarinettistes, trompettistes … le savent bien : ils vident et sèchent constamment leur instrument de toute la salive qu’ils y ont projeté et dont une grande partie est rejetée dans l’air autour d’eux lorsqu’ils jouent.
Imaginez une section de cuivres qui répète dans une salle fermée ou enregistre dans un studio pendant des heures…
Pour vous permettre d’évaluer correctement vos risques, de les réduire, de vous protéger et de protéger les autres dans ces situations, nous allons voir dans le détail toutes les mesures techniques de protection à mettre en œuvre pour réduire les risques de contagion et de propagation du coronavirus.
Le nettoyage d’un micro n’est pas chose facile. Il faut à tout prix éviter de mouiller la capsule à l’intérieur du micro. Donc on ne peut pas asperger de produit désinfectant, ni même de l’eau, sur la grille.
Le corps du micro peut être essuyé gentiment avec un chiffon imprégné de produit pas trop agressif : par exemple un peu de sanytol (assez naturel) ou dans beaucoup de cas alcool isopropylique à 70° (voir le manuel du fabricant) et très léger sur la grille.
Mais dans tous les cas, il vaut mieux systématiquement chausser le micro d’une bonnette en mousse qui va arrêter les projections. La bonnette est lavable à l’eau tiède et au savon. Bien rincer, bien essorer et bien sécher (sur un radiateur ou avec un sèche-cheveux).
Si vous utilisez un micro de studio à large membrane, vous savez qu’il vous faut utiliser en plus un écran anti-pop, nous verrons après de quel type.
Si vous êtes le seul ou la seule à utiliser votre micro, inutile de paniquer. Le micro ne vous transmettra pas le coronavirus … ni la bonnette d’ailleurs.
Si vous êtes invité·e à parler dans un micro qui ne vous appartient pas, exigez à l’avance une bonnette en mousse désinfectée. Attention certaines personnes, même dans les radios ou TV professionnelles, négligent ces mesures anti coronavirus.
Cela coule de source, vous devez protéger du coronavirus vos invités quand vous en avez. Privatisez micro et bonnette lavée et désinfectée, si c’est possible.
Si vous passez le même micro à plusieurs personnes, il faut vraiment éviter aussi que les lèvres ne touchent la bonnette, donc respectez la distance de 20cm minimum.
Attention, cette distance minimum est trop souvent mal calculée : 20cm c’est en gros la distance entre le bout de votre index et de votre pouce lorsque vous les écartez au maximum.
Si vous évoluez dans un studio de radio avec des invités qui se succèdent, il est obligatoire d’essuyer les micros avec une lingette imbibée (voir plus haut) et de donner à chaque invité une nouvelle bonnette en mousse (propre, lavée). Il faut aussi dans ce cas, désinfecter la table du studio entre chaque invité.
Nous y voilà ! N’utilisez pas les bonnettes à poil : elles sont difficiles à désinfecter et fragiles.
Utilisez des bonnettes en mousse. Elles se lavent facilement au robinet avec de l’eau tiède et du savon (ou du produit vaisselle). Bien rincer, bien essorer et bien sécher (sur un radiateur ou avec un sèche-cheveux).
Je dis des bonnettes, car vous serez probablement obligé·e d’en acheter plusieurs. Elles sont très bon marché et peuvent s’acheter par lots. On en trouve partout sur le net depuis l’apparition du coronavirus.
Et n’oublions pas non plus de protéger les micros cravate, ils sont eux aussi placés en ligne de mire pour les projections de coronavirus. Vous pouvez facilement trouver sur le net des bonnettes en mousse pour vos micros cravate.
Là aussi, si vous êtes bien équipé·e avec un micro à large membrane, il vous faut un écran anti-pop rigide et non pas les plus courants dont la matière filtrante est souple : plus difficiles à laver.
Par exemple, ceux-ci : vous pouvez les acheter chez Thomann : 29 à 70 €
Notons au passage, pour les enregistrements musique ou studio, qu’il faut aussi désinfecter les pupitres, les pieds de micros, les claviers d’instrument, les amplis, bref tout ce que les musiciens et les techniciens tripotent constamment…
Nettoyer tout ce qui a été touché après chaque séance. Si vous partagez un studio, faites-le avant et après. Ne faites pas confiance à vos collègues, certains sont certainement négligents ou paresseux, voire encore complotistes… il y en a pas mal un peu partout !
Evitez les produits de nettoyage agressifs. Ce n’est pas une pub, mais je recommande Sanytol sols et surfaces qui ne contient pas de javel et a une bonne action anti-virus. Si vous avez un doute, nettoyez un petit bout de votre surface pour voir si le produit n’altère pas votre matériel.
Enfin, évitez les lingettes jetables, c’est un vrai fléau pour la planète.
Toutes les règles générales de distanciation de la pandémie du Coronavirus sont évidemment à respecter. A commencer par la toute première : se laver les mains au savon ou au gel hydroalcoolique avant et après.
Les techniciens et toutes les personnes qui ne parlent pas ou ne chantent pas doivent se protéger avec un masque.
Enfin, aérez au maximum la pièce entre ou même pendant les séances. Et ce n’est pas forcément facile, ni même possible dans la plupart des studios.
Les recommandations particulières aux microphones ont été établies à partir de celles des fabricants de micro Schoeps, Sennheiser, de la RTBF et de l’Alliance des Radios Communautaires du Canada. Elles ont été émises à l’occasion de la crise du coronavirus.
Si vous désirez vous informer plus précisément sur la prise de son que ce soit de la voix parlée, chantée ou des instruments de musique, vous pouvez en savoir plus sur ces deux pages de notre blog :
Comment enregistrer la voix parlée
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Vous avez peut-être déjà commencé à vous documenter sur le podcast audio ? C'est un nouveau domaine de communication sur le web. On en parle beaucoup, mais les infos, les techniques et les méthodes sont clairement difficiles à rassembler.
En pleine évolution, en plein boom ! Le potentiel de ce média est énorme pour toute forme d'activité, car le podcast audio est fondé sur la puissance de la communication orale, de la voix humaine.
On peut y parler véritablement intimement au creux de l'oreille de ses auditeurs, de ses apprenants ou de ses prospects.
D'ici quelques années, il y a fort à parier que tout le monde rêvera d'animer son podcast audio. Dès maintenant, sans attendre, vous pouvez gagner un temps d'avance au bénéfice de votre activité.
Pour toutes ces raisons, nous avons pensé qu'il était urgent de vous proposer une formation podcast efficace qui vous fera gagner beaucoup de temps.
Pour vous éviter les errances que nous observons tous les jours dans les tentatives maladroites de ceux qui démarrent à l'arrache et au bout de quelque temps abandonnent leur projet.
Cette formation podcast est pour vous si vous avez décidé de passer à l'action et d'innover dans votre activité.
Vous êtes guidé·e pas à pas jusqu'à la mise en ligne et à la promotion de votre chaîne de podcasts.
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Notre plateforme de formation à distance est ouverte 24h/24 et 7j/7.
Elle dispose de toutes les ressources interactives pour que vous puissiez partager, échanger et enrichir
votre parcours de formation podcast de manière agréable et efficace.
- Votre ordinateur et votre connexion internet
- Savoir utiliser l'informatique de base au quotidien (traitement de texte et internet)
- Un tout petit budget équipement - 50 à 100€ environ - car il ne vous manque pas grand chose
Bruno de Chénerilles est formateur-expert en nouvelles technologies audio et multimedia pour le web et la musique.
Depuis plus de 25 ans, il forme des professionnels dans ces disciplines en formation continue et dans diverses universités en France et au Canada.
En 2004, il a fondé et il dirige depuis l'organisme Audio Formations.
Il anime le blog Plan Sonore et 2 chaines de podcasts : Plan Sonore - Plaisir et Pouvoir du son et Planeta - la revue sonore des musiques nouvelles.
Contactez-le !
Il est urgent pour vous de prendre un rendez-vous téléphonique avec le formateur Bruno de Chénerilles afin de lui poser toutes vos questions et vos attentes, de vérifier avec lui si vous avez droit à une prise en charge financière et de monter rapidement un dossier de demande.
Faites très vite, car les délais pour les demandes de prise en charge sont en général de 1 mois avant le début de la formation.
Bruno de Chénerilles est à votre disposition pour toutes vos questions, pour monter votre dossier d'inscription et de prise en charge avec vous. N'hésitez pas à le contacter par email pour un rendez-vous de vive voix : contact
Tous les stagiaires apprécient totalement le formateur
pour ceux qui ont accompli le parcours de formation
Pour eux, cette formation est au top !
(chiffres recueillis de 2022 à 2023)
Ces chaînes de podcast ont été mises en ligne par des apprenants pendant leur formation
Roméo - épris de littérature
Je remercie chaleureusement Bruno pour son professionnalisme et la qualité de son écoute. Il est de très bon conseil et sait trouver les mots afin de rendre sa formation accessible au plus novice des débutants. Ses cours sont à la fois clairs, intéressants et agréables ; grâce à Audio Formations, j'ai passé d'excellents moments et réalisé un projet qui me tenait à cœur. MERCI !.
Stéphanie - voyageuse
Mon projet de formation est totalement atteint. Je souhaitais lancer ma chaine de podcast, aller au bout de la démarche et c'est chose faite. Je suis très contente de cette formation et Bruno est de bons conseils.
Marc - cycliste diagonaliste
Le format de la formation est pratique, les tutos très clairs, Bruno est ultra réactif et de bon conseil. Bref, si c'était à refaire, ce serait sans hésitation.
Yves - entrepreneur-conférencier
Une formation parfaite pour démarrer dans le domaine du podcast. Le formateur était toujours disponible et à l'écoute des stagiaires. C'est une formation simple et pratique pour ceux qui débutent.
Yvain - artiste sonore
Excellente formation très complète qui s'adresse peut-être d'abord à ceux, celles qui débutent dans le son et dans le podcast. A ce titre, si j'ai pu apprécier de retraverser certains fondamentaux, je me demande si cette formation ne pourrait pas se subdiviser en 2 catégories : débutants et expérimentés.
Gilles - professeur d'aïkido
Le rythme et le contenu de la formation étaient absolument adaptés à mes attentes et aux objectifs que je m'étais fixés. Un point important pour moi, l'intervenant était en permanence à disposition et répondait à mes questions dans un temps très court.
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Très bonne formation. Débutante totale sur le sujet, il m'a fallu moins de 2 heures pour suivre le cours et prendre le logiciel en mains. Présentation claire et exemple efficace.
MARIE-JOELLE
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Le cours est clair. Il est tout a fait adapté pour une néophyte comme moi. Bruno prend le temps de nous expliquer avec simplicité. Les exercices pratiques sont détaillés et aident à prendre en main le logiciel facilement.
Christel
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Pour quelqu’un qui débute comme moi, j’apprécie l’avancée pas à pas sur les fonctions de base... Je recommande particulièrement pour ceux qui, comme moi, n’ont jamais touché un logiciel de montage son, mais qui ont besoin d’un enregistrement voix + mixage avec de la musique rapidement. Merci pour cette prise en main simple, ça donne envie de poursuivre vers plus de détails …
YANN
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Bonne qualité du cours, j’ai appris plusieurs choses que je ne savais pas faire.
THIERRY
Notre formation complète vous permet d'apprendre à créer des podcasts audios de A à Z. Découvrez les étapes clés de la création sonore : de la conception à la diffusion, en passant par l'enregistrement et le montage audio.
La formation création podcast est rapide, efficace et vous permet d'acquérir toutes les compétences nécessaires pour lancer votre propre podcast de A à Z : narration sonore, mixage audio, réalisation, lancement de votre chaîne.
Transformez vos idées en contenus captivants grâce à notre approche pédagogique pratique, axée sur des cas concrets pour un apprentissage optimal.
Nous alternons sessions théoriques et ateliers pratiques pour que vous puissiez appliquer immédiatement vos apprentissages. Travaillez sur votre propre projet de podcasts et apprenez à écrire des podcasts structurés et engageants.
Comprendre l’écosystème des podcasts natifs
Conception du podcast : Définissez le concept, l'audience cible et le format (interviews, monologues, discussions). Choisissez les équipements essentiels comme les microphones et logiciels de montage.
Écriture du script : Rédiger des scripts captivants, en maîtrisant rythme et cadence pour un rendu professionnel.
Enregistrement : Optez pour un environnement adapté, utilisez le bon matériel et adoptez les meilleures techniques pour un son clair et professionnel.
Montage audio : Apprenez à couper les sections inutiles, ajuster les volumes et ajouter des effets sonores pour un résultat de qualité.
Mixage final : Harmonisez les niveaux, appliquez filtres et égaliseurs pour une sonorité professionnelle.
Diffusion : Publiez vos podcasts sur les bonnes plateformes et appliquez des stratégies efficaces pour atteindre votre audience.
Soyez régulier : Fidélisez votre audience avec une publication régulière.
Engagez votre audience : Créez une communauté autour de votre podcast.
Investissez dans du bon matériel : Une qualité sonore optimale fait toute la différence.
Analysez vos performances : Ajustez votre contenu grâce aux outils d'analyse.
Restez authentique : Soyez vous-même pour captiver vos auditeurs.
Avec la formation création podcast de Plan Sonore, lancez votre propre chaîne de podcasts en 60 heures et captez l'attention de vos auditeurs.
Bien plus qu'un micro usb pour enregistrer votre voix parlée, le Mikme est aussi un excellent micro de studio, un enregistreur numérique autonome et un micro sans fil pour enregistrer en vidéo sur ipad ou iphone.
Pour tous ces usages, le Mikme excelle avec une qualité de son professionnelle et rivalise avec le haut de gamme.
Un concept révolutionnaire, celui par excellence de l'enregistrement numérique en mobilité. Ce petit cube noir est très discret, léger . On peut le poser partout : sur une table, sur un pied photo ou un pied de micro.
Le transporter dans sa poche. Une fois sa batterie chargée, il fonctionne en autonomie pendant environ 5h.
Si vous enregistrez des vidéos avec votre iphone ou avec votre ipad, c'est le compagnon rêvé pour une qualité de son professionnelle. Avec son app gratuite, vous allez le coupler très simplement par bluetooth avec votre iphone ou votre ipad (bientôt disponible aussi sur androïd), donc sans fil et pouvoir ainsi le placer où vous voulez pour avoir un son impeccable et faire tous les réglages à distance.
Vous pouvez aussi enregistrer successivement plusieurs pistes : pour un musicien, c'est la plus petite configuration multipistes, un tout petit studio de maquettes dans la poche pour composer, noter vos idées n'importe où.
Les différents réglages se font très simplement avec un unique bouton qui change de couleur selon la fonction recherchée.
Une fois qu'on a assimilé le code à 5 couleurs, c'est très simple et très design. Les seuls qui seront déroutés sont toutes les personnes déjà expérimentées an audio, qui au début regretteront l'absence de vu-mètre et de boutons rotatifs, mais on s'y fait très vite.
Il fonctionne aussi en micro usb. Vous n'avez donc pas besoin d'interface particulière pour enregistrer dans votre logiciel audio ou video. Très pratique pour enregistrer vos podcasts, vos cours ou vos vidéos.
Là encore la qualité est au rendez-vous : vous enregistrez le son en haute définition avec le même rapport signal sur bruit qu'un micro de studio connecté à une interface audio pro.
La partie capteur du Mikme est une excellente capsule à large membrane. Ce choix technologique des ingénieurs qui l'ont développé à Vienne garantit une qualité équivalente aux meilleurs micros de studio.
En même temps, on a écarté là toute velléité de stéréophonie. Et c'est tout à fait judicieux : mieux vaut un excellent enregistrement mono, qu'une stéréo approximative.
Rajoutons aussi que 95% des configurations d'enregistrement se font en mono. Les seuls usages qui justifient la stéréophonie sont le paysage sonore (field recording) et l'enregistrement de musique de chambre ou de grand orchestre. Là seulement un enregistreur stéréo du type Zoom ou plus professionnel encore surpassera le Mikme.
Mais si vous souhaitez faire des enregistrements stéréo professionnels, sachez que vous pouvez utiliser un 2ème Mikme et construire ainsi des couples stéréo classiques (xy, ab, ortf) car le Mikme est un micro cardioïde (directionnel).
Nous l'avons osé : mettre en situation de test le TLM103 qui dispose de la capsule Neumann légendaire et cette nouvelle petite boite noire.
Le test portait sur l'enregistrement d'une guitare acoustique en simultané sur les 2 configurations de micro dans le logiciel Cubase. Côte à côte, les 2 micros sont face à la guitare (40 cm environ) et nous rentrons dans Cubase où nous enregistrons les 2 pistes simultanément en 24bits/ 48Khz. Ecoutez le résultat !
Neumann TLM103 > interface audio Motu Traveler - coût de la configuration : 1000€ + 600€ = 1600€
Mikme connecté directement en usb - coût : 389€
Vous avez bien écouté ? Qu'en pensez-vous ? Mikme est à la hauteur, c'est le moins qu'on puisse dire.
Mikme est équipé en interne d'une suspension aussi efficace que celle qu'il faut rajouter au Neumann pour éviter les bruits venant du sol.
Aucune correction n'a été effectuée sur ces 2 prises, si ce n'est un filtre coupe-grave à 80hz, nécessaire en général avec ce genre de micros à large membrane.
En extérieur, il faudra rajouter une bonnette anti-vent comme pour tous les micros. L'équipe Mikme conseille le Movo WS-R30 Professional Furry Windscreen ou bien le Rycote Mini Windjammer ou tout autre bonnette prévue pour le Zoom H4 (20 à 30€).
Ce produit a été conçu par des ingénieurs ayant une grosse expérience professionnelle chez Sennheiser et AKG. Ils ont fonctionné en startup pour développer Mikme. Une levée de fond fantastique avec un énorme financement participatif sur Indiegogo.
Séduit par l'ambition du produit, j'ai personnellement tenté l'aventure en le précommandant à un tarif très intéressant. Dans ces cas-là, il faut être patient et c'est bien normal : l'équipe Mikme a mis plus de 2 ans pour sortir le produit qui est encore aujourd'hui en constante évolution.
Notamment la compatibilité androïd est annoncée : tout le marché de la mobilité (smartphones, tablettes) sera ainsi couvert.
Mikme est un enregistreur audio de très grande qualité, mobile, autonome et polyvalent, pour l'instant compatible MacosX, Windows et iOs. Il est tout particulièrement recommandé pour tous ceux qui pratiquent :
Mikme est vendu 389 € (prix Thomann). Cela peut paraître cher, mais c'est très peu pour tout ce que fait avec brio l'appareil et il est vrai que beaucoup d'utilisateurs pourront couvrir très largement leurs besoins en économisant sur des appareils supplémentaires.
C'est donc un investissement très rentable pour tous ceux qui veulent avoir un son de qualité pro en toute simplicité, en mobilité ou en studio.
Ce micro-enregistreur très innovant est sans doute le tout premier des outils audio du futur.
Comme d'habitude, je tiens à vous préciser que cet article n'est en aucun cas une publicité. Si je vous conseille cet appareil, c'est après l'avoir testé et même adopté pour enregistrer tous mes cours, mes vidéos et même des instruments acoustiques en studio.
Le GUIDE DES MICROS 2024 pour votre musique, vos podcasts et vos vidéos
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Nous protégeons vos données et nous ne les donnons à personne :
Pour vous équiper en audio et vidéo pour enregistrer vos cours, vos promos ou si vous êtes musicien : vos répétitions, voire même vos concerts. Vous cherchez une solution simple à mettre en œuvre et fiable, pour un budget entre 100 et 400 €. Oui, c’est possible : le Zoom H4n
Pour enregistrer facilement et proprement votre voix sur votre ordinateur (présentations, cours, podcasts, commentaires de vidéo), le micro usb est une très bonne solution. Oui, mais quel micro choisir ? Un Bird UM1 ?
Aujourd’hui l’enregistrement audio devient une pratique courante dans beaucoup de métiers autres que ceux de la musique. Formateurs, web-entrepreneurs, vidéastes, youtubeurs … Vous avez tous besoin d’enregistrer votre voix pour vos vidéos de formation ou de vente. Comment améliorer vos enregistrements audio sans dépenser une fortune ?
Si vous observez ces 4 règles de base, vous allez déjà faire un bond en avant considérable. Et c’est très important : votre voix parlée porte un message qui doit être clair et net, compréhensible sans effort, agréable à l’écoute. La qualité technique de l’enregistrement et la qualité de votre élocution (quelqu’en soit le style) sont donc primordiales.
Même en vidéo, c’est le son de votre voix qui contient votre message, pas l’image. Un de nos plus grands cinéastes, Jean-Luc Godard disait que le cinéma est fait de 50% de son et 50% d’image, mais que les 50% de son sont beaucoup plus importants que les 50% d’image !
Je vais sans doute vous choquer en vous proposant maintenant une solution technique pour améliorer vos enregistrements de voix parlée et couvrir vos besoins en audio et en vidéo pour un budget de 100 € maximum !
– » Impossible ! vous diront certains professionnels, impossible ! «
Et bien si, c’est possible ! Comme d’habitude, je vous passe tous les tests successifs, les différentes combinaisons possibles, les commentaires plus ou moins pertinents que vous pouvez trouver ailleurs. Pour vous présenter la solution la plus adaptée, polyvalente, au meilleur rapport qualité-prix et je vous garantis son efficacité pour améliorer vos enregistrements
Encore une fois, lorsque je vous conseille un équipement, je ne fais aucune publicité. Faites moi confiance : ma mission est simplement de vous aiguiller vers le meilleur choix pour vous et de vous faire gagner du temps sans faire de périphrases.
Nous partons donc du principe que vous avez besoin d’enregistrer votre voix en audio pour vos cours en ligne, sur votre ordi quelque soit l’application (powerpoint, captivate, presenter, screenflow, etc) ou en tournage pour vos vidéos Youtube ou Facebook (avec votre smartphone, une tablette, un appareil photo hybride ou avec une caméra plus sophistiquée).
Pour améliorer vos enregistrements, la solution la plus adaptée et qui va fonctionner dans tous les cas de figure, à l’intérieur comme en extérieur : un micro-cravate appelé aussi en anglais lavalier. Pourquoi ?
Vous allez pincer votre micro au revers de votre veste ou de votre chemise. Et vous répondez déjà aux 2 premières règles de base : votre micro est à la bonne distance de votre bouche si vous l’accrochez à hauteur de poitrine. Notons que ce type de micro est en général omnidirectionnel, donc il va pointer nécessairement vers votre bouche.
Mon choix s’est porté sur l’excellent fabricant australien Rode, spécialiste du rapport qualité-prix en matière de micros pro. Et tout particulièrement sur le modèle SmartLav+ , spécialement étudié pour les smartphones avec lequel vous allez pouvoir améliorer vos enregistrements.
Les prises de son de la même voix parlée dans les mêmes conditions, le son est brut sans traitements :
1. avec le SmartLav+ sur un MacbookPro
2. puis le même micro sur un iPhone 5C
3. puis avec du matériel de studio-pro : un micro Neumann TLM103 (1000 €) + une interface Motu (600 €)
Evidemment, le son du Neumann est beaucoup plus détaillé, plus rond et plus fin. Mais le SMartLav+ tire son épingle du jeu avec brio : il remplit proprement son office, tout simplement.
La différence est beaucoup moins marquée si vous écoutez tout çà sur les petits haut-parleurs de votre ordi, ce qui correspond quand même à 90% des cas d’écoute de vos documents sur internet.
Si vous voulez améliorer vos enregistrements en plein-air, il vous faut lutter contre le vent, même léger. Le micro est livré avec une petite bonnette de protection. Sans une protection supplémentaire, un vent plus consistant va faire littéralement exploser le son dans les basses fréquences. Si vous envisagez de tourner beaucoup en extérieur, achetez une bonnette à poils plus efficace. Rode vous propose cet accessoire : un jeu de 3 bonnettes, le Rode Lav MiniFur .
Vous pourriez être tenté par un système sans fil, plus onéreux et plus compliqué à gérer. Mais cela va-t-il encore améliorer vos enregistrements ?
Le seul avantage serait de vous offrir plus de mobilité, mais c’est très relatif surtout si vous tournez vos vidéos seul. Vos possibilités de mouvement et de déplacement seront de toute façon très réduite. Vous allez plutôt poser votre smartphone ou votre caméra sur un pied et vous vous placerez devant. Dans ce cas là le sans fil est sans aucune utilité et il ne pourrait pas améliorer vos enregistrements.
Une rallonge :
le cable du SmartLav+ n’est pas très long, mais il suffit pour vous filmer en gros plan et en plan moyen. Si vous voulez vous éloigner plus pour vous filmer plus petit dans un paysage, Rode vous propose le SC1 : une rallonge de 6m qui vous permet toutes les fantaisies.
Nous y arrivons car c’était somme toute notre objectif majeur, outre la qualité, pour que vous puissiez améliorer vos enregistrements. Voici les prix :
Total = 91,40 €
Le contrat est rempli, non ? Moins de 100€ pour immédiatement améliorer vos enregistrements.
Un autre accessoire peut vous intéresser, le Rode SC6 ( 13,90 € ) qui vous permet de connecter 2 SmartLav+ et donc de faire des interviews. Bien sûr il vous faudra rajouter 45 € pour un 2ème micro.
Rode livre avec le micro un petit étui pour le ranger. C’est très utile car vous devez le manipuler avec soin, ces petits câbles sont fragiles et aucune réparation n’est évidemment possible tant le micro est petit.
N’hésitez pas à me poser des questions dans le but d’améliorer vos enregistrements, à alimenter la réflexion dans les commentaires ci-dessous et à partager cet article sur les réseaux sociaux.
Et si vous ne l’avez pas encore fait, téléchargez tout de suite ma liste gratuite ci-dessous où vous trouverez les Règles d’Or de la Prise de son.